Ils sont quelques-uns que je qualifie comme ça.
>> Certains dont j'ai déjà parlé comme F. 33 ans, d'autres comme T. 30 ans, mari infidèle qui fera l'objet de cet article et J. 31 ans, célibataire qui fera l'objet d'un premier article dans un prochain profil sous le nom de"Monsieur baiser parfait" !
La première fois qu'il m'a contactée, je n'avais que des photos de son corps. Bien évidemment une relation d'infidèle/maîtresse étant, de prime abord, basée sur le sexe, le physique doit fatalement plaire à l'autre. Pas besoin d'être une gravure de mode, certains de mes amants n'en sont pas et ils me plaisent énormément quand même ;-) Mais j'avoue qu'il n'y avait rien à redire sur le physique de T. 30 ans : très grand, carré, larges épaules, peau hâlée, musclé, tablettes de chocolat, dos fort, belle gueule, coupe de cheveux qui donne envie de passer sa main dedans encore et encore, sourire à tomber et un charisme très attractif... Le beau gosse de papier glacé par excellence.
En plus de tout ça, le courant passait très bien, l'humour était au rendez-vous, il était TRÈS réceptif à mes photos, mes formes généreuses et mon attitude sensuelle et séductrice. Le hasard fit que je savais à quoi ressemblait Madame, totalement à l'opposée de moi. J'ai donc posé la question franchement : "as-tu bien regardé mes photos ? es-tu sûr que tu aimes mes formes ?". Sa réponse a été sans appel : "ÉNORMÉMENT ! Les formes, c'est mon pêché mignon, je déteste les squelettiques". Ah... bon, ok alors :-)
Première rencontre en Eté. Il avait une soirée de libre. Et à force de parler d'aller boire une grenadine en terrasse depuis plusieurs jours, on a jugé plus utile qu'il vienne directement me rejoindre chez moi pour prendre une douche après une journée très chaude. Et question chaleur... Humm... elle était au rendez-vous !
J'avais enfilé une petite nuisette et un peignoir en soie noire par dessus, cliché par excellence pour l'accueillir mais au moins il serait mis dans l'ambiance tout de suite. J'aime mettre mes amants "infidèles" à l'aise dès la première rencontre. Pas de gêne, pas d'embrassade sur les joues, ni de "alors ta journée ?", "tu veux boire un verre ?", "mets toi à l'aise". Non... pas de faux semblants lui et moi savons pourquoi il est là et nous avons déjà brisé la glace "virtuellement" avant par écrit ou au téléphone. Je me dis que c'est mon amant qui me rejoint, et donc quand il arrive, j'ai fatalement déjà envie de lui, j'y pense depuis plusieurs heures.
A peine la porte ouverte et le sourire de T. 30 ans dégainé, j'ai succombé. Ses lèvres sur les miennes, ma main dans ses cheveux, ses bras enlaçant ma taille, un petit gémissement de ma part... et nous n'étions que dans l'entrée. Je me souviens de ses lèvres dans mon cou... de ses mains glissant sous le peignoir de soie pour découvrir une poitrine généreuse et de son souffle coupé un instant en la regardant. Quelques secondes de flottement, le temps de lui enlever son tshirt et c'est moi qui ai eu le souffle coupé en faisant courir mes doigts sur son dos, son torse, ses abdos, ses épaules et ses fesses.. Son pantalon n'a pas tenu longtemps. Je lui enlevais pendant que ses mains s'orientaient sensiblement entre mes cuisses... Nous étions sur la même longueur d'ondes. Parfait !
Je ne me souviens plus si nous avons un peu joué sur le canapé avant, mais je lui ai très vite fait visiter ma chambre ;-) Nu, il bandait déjà comme un fou. C'est toujours flatteur de voir qu'un homme aussi canon vous désire à ce point, il y a toujours une certaine forme de jouissance interne, gratifiante un instant, l'adolescente mal dans sa peau toujours un peu quelque part en vous se dit qu'elle n'est finalement pas si mal. Son attitude n'était pas hautaine, bien au contraire, il n'en jouait pas. Il est superbe et sympathique, drôle, une voix sexy, prenant soin de lui, pas nécessairement épilé mais entretenu. Fier et droit, en demande de sexe, de luxure, de vice à assouvir.
Allongés sur le lit, ma bouche le parcourait entièrement... le mordillant... déposant de doux baisers sensuels... laissant ma poitrine le frôler... mes mains l'affoler... puis ma langue joueuse le titiller. Je me souviens de ses "oh putain... oh putain... humm... putain que c'est bon..." et de ses nombreuses excuses d'être vulgaire quand je lui faisais du bien. Il était délicieux. L'entendre gémir me donnait encore plus envie de le faire jouir comme ça, tout de suite. D'un coup, je m'arrêta et alla chercher une bouteille pour le surprendre. Une gorgée non avalée, le liquide gazeux et glacé encore dans ma bouche et je reprenais son gland entièrement. Sa surprise, son étonnement, ses muscles se crispaient. C'était la première fois qu'on lui faisait découvrir cette sensation. Il n'en pouvait plus. "Tu m'excites trop, je vais jouir trop vite si tu continues". Gloire excessive et égo démesuré, je me régalais de tant de pouvoir sur ce beau gosse amateur de mes formes qui le rendaient fou dès ce premier rendez-vous ;-)
Il se redressa pour prendre le contrôle et se glisser entre mes cuisses... Ses mains... puis sa bouche... sa langue... J'étais déjà très mouillée d'envie, c'était un supplice, je le voulais tout de suite, en moi, voire ce qu'il y avait derrière cette gueule d'ange et ce corps d'apollon. Jusqu'où pouvais-je réveiller la bête ?! Quelques minutes à me faire gémir, à jouer avec ses doigts et sa langue... je le suppliais de me baiser, de me faire l'amour, de me prendre, me posséder, me faire crier.. Bandant encore plus fort, Monsieur Beau Gosse ne s'est pas fait prier. En un instant je le chevauchais, en amazone fière de ma conquête, voir son visage gorgé de plaisir et sentant ses mains sur mes hanches, accompagnant mes va et viens de bassin. Me cambrant pour lui offrir mes seins à pleine vue. Les gémissements se faisaient plus hards, plus forts, plus intenses... Un cri de jouissance de sa part puis des frissons de la mienne, une petite chatte qui se contracte, un orgasme puissant, une envie folle de se lâcher avec un joueur si enthousiaste et motivant. Des "hummmm" et des "ahhhhh" lâchés dans un râle ultime. Une première fois très intéressante et expressive.
Ce soir là, il n'y eu qu'une première fois, puis une longue discussion associée à des câlins, des caresses, de nombreuses caresses comme je les aime, des rires, un échange agréable. Une douche, des gouttes ruisselantes sur son corps dont j'avais encore envie puis il se rhabille et rentre auprès de Madame.
Nous avons mis de nombreux mois avant de nous revoir, lors de notre deuxième soirée très récemment, nous nous sommes épuisés mutuellement à coups de baisers, de regards, de positions, de sexe, d'envies, de sexe, de caresses, de sexe... Il m'a confié qu'il n'avait pas fait l'amour 3 fois de suite depuis très longtemps : je lui répondis qu'heureusement qu'il ne restait pas toute la nuit, sinon je ne l'aurais pas laissé dormir. Mais ça se racontera dans un prochain article... très chaud lui aussi !