Paradoxalement il est très tendre. Mis à part une mauvaise expérience avec un (mauvais) baiseur hard qui pensait que baiser n'était qu'en levrette claquée (et mal de surcroît) sans câlin, sans rythme alterné, sans "pré-chauffage", j'ai eu la chance d'avoir de vrais baiseurs qui s'y connaissent.
C'est amusant d'ailleurs de constater que, ce soit R28 ou C38, mes baiseurs hard de qualité soient tous les deux très bien membrés avec une queue assez grande mais surtout large. Que les deux soient bipolaires. Que ce sont deux très attentifs à ton plaisir, à ton besoin de jouir, de gémir, de crier ton extase. Que tous les deux ont l'air de deux profonds gentils alors qu'au lit ce sont des bêtes. Attention, le côté bestial, animal et non désagréable.
Cela commence par une conversation "entre amis", pas de grande séduction, seulement des allusions cash. Puis des regards où je sens cette perversion dans la pupille. Il commence à bander, je le sens mais surtout je le vois dans ses yeux. Je l'entends dans ses mots. Je le ressens dans ses baisers. Il a envie de me prendre, de me posséder, de me baiser. Parce qu'il peut être comme ça avec moi, en toute confiance. Il peut me regarder dans les yeux en m'appelant "petite salope" et me demander comment je veux qu'il me baise. Qu'il me fasse jouir et hurler. Me tordre de désir sous sa queue dure et qui me remplit entièrement.
Je sens son souffle dans mon cou, sa main attrapant mes cheveux pour me faire plier, prendre le dessus. Le gentil garçon a disparu, le prédateur de mon plaisir est en face de moi. Contre moi. Contre mon cul. Il le veut ce petit cul. Il veut que je m'offre comme il le fait avec sa façon de me baiser. Il se dévoile en toute confiance.
Mouiller de voir ce que je provoque, baver de sucer cette grosse queue en demande de ma bouche, de mes caresses, de ma langue, de mes seins. La glisser entre mes seins et le voir impatient de me prendre. Fort ! "Baise moi !"... La réponse ne se fait pas attendre... "Oh oui je vais te baiser" en m'attirant fermement contre lui. Un préservatif enfilé, un cul retourné, ou une jambe relevée et je le sens entrer en moi. Tendu. Dur. Bandant à en crever. Le gland gonflé prêt à me faire gémir longuement avant de jouir. Il me parle. Il me répète ces mots que je ne tolère que de peu. Mon corps se cambre sous chaque coup allant jusqu'au fond de mon antre. C'est parfois douloureux mais si bon de baiser comme ça. Animal. Passionné. Sans limite. Comme s'il pouvait me pénétrer au maximum ! Bouger, changer de position, privilégier la levrette où je cambre mon cul au maximum, la tête dans les oreillers, soupirante et suppliante de me faire jouir. De ne pas arrêter ce rythme qui alterne quelques petits va et viens et de grands coups au fond de ma chatte dégoulinante d'envies, brûlante.
Lui offrir mon cul le rend fou, mes mains écartant mes fesses au plus indécent pour le provoquer, le sentir jouer avec l'orée de mon petit trou, bander encore plus à l'idée qu'il sera à l'étroit là dedans. Lui permettre de ne pas utiliser de lubrifiant, le rendre dingue de ce "cadeau". Sa cadence et son ardeur accélérant jusqu'à la contraction de nos muscles et dans la moiteur de nos peaux...
Ne plus se retenir, jouir sous ses coups de boutoir, se tordre, se cambrer, arracher les draps de mes mains poignantes, griffer son dos, ses bras de mes ongles sauvages et sans retenu.
Exploser dans un cri salvateur et le voir satisfait. Continuer, ne pas s'arrêter tellement il bande. Me sentir me contracter autour de ce membre délicieux. Saccader ses va et viens dans l'espoir de me faire encore venir et mouiller à outrance. M'épuiser de lutte bestiale transpirante. Puis le sentir partir, venir en moi. L'entendre abandonner, soupirer, avoir le souffle coupé, sentir sa queue rendre les armes avec des frissons et des spasmes fantastiques.
Parfois lui offrir mes seins pour récolter son plaisir... Me caresser devant lui. L'impudeur d'une petite salope réclamant celui qui fera tout ce qu'il veut d'elle au nom de la jouissance. Me passer la langue sur la bouche, me mordiller la lèvre et soupirer pour lui montrer que j'ai envie qu'on recommence pendant qu'il me câline pour dévoiler sa tendresse la plus sincère.. Ses doigts dans mes cheveux, ses mains sur ma peau épuisée mais cette envie de fusionner encore dans la perversité des mots et des frissons.
Mon doux baiseur hard...