Après des mois sans se voir, il m'avait promis une matinée entière avec moi, rien que pour moi, pour mon plaisir. J. 40 ans adore m'appeler "maîtresse", relâcher sa pression sociale et s'abandonner avec moi. Prendre son plaisir à travers le mien, m’obéir, que je le guide, lui ordonne, le dirige.
Ce matin là il sonna à l'interphone, j'ouvris la porte puis retourna me glisser sur mon lit, en petit ensemble de lingerie noir en dentelle. Allongée sur le ventre, cheveux étalés sur l'oreiller, lascive, une jambe pliée... je l'entendis passer la porte, déposer ses affaires dans la pénombre, enlever sa veste, sa ceinture, se déshabiller rapidement avant d'entrer dans la chambre. Puis cette porte poussée... me découvrir comme ça, offerte... Sa "maîtresse" dominante réalisant un de ses fantasmes, lui proposer ce moment et cette liberté qu'il n'avait jamais octroyé à personne, en toute confiance.
Je me souviens de ses lèvres sur mes mollets, mes cuisses... de la sensation de son poids arrivant sur le lit, de sa bouche remontant sur mes fesses, mes reins, mon dos, mes épaules... accompagnée de ses mains. Il me détailla pendant plusieurs minutes, découvrant mon corps comme un cadeau. C'est comme ça que je me suis sentie à ce moment là : un cadeau à apprécier jusqu'à la moindre forme, au moindre frisson.
"Dis moi ce que tu veux maîtresse". Ces mots résonnent encore en moi, ce pouvoir m'envahit et si je m'étais écoutée j'aurais été beaucoup plus imprégnée. Avec le recul, je regrette d'avoir survolé un peu ce rôle par désir de m'abandonner aussi auprès de cette homme que j'admire pour son charisme, son travail et que j'estime profondément.
Je voulais des baisers à profusion, partout, des caresses, tellement de caresses à m'enivrer... Etre l'objet du désir démultiplié. Je voulais lire le désir dans chacun de ses gestes, cette envie de me faire jouir et de m'obéir. Touche moi là, embrasse moi là, caresse moi là, mange moi, glisse tes doigts ici, huumm... oui juste ici, comme ça... Il m'offrait l'égoïsme par excellence et avec son consentement, comment refuser ce pouvoir fou ? ;-) Après de très longues minutes à m'explorer de caresses, J. 40 ans glissa sa langue entre mes jambes. J'étais brûlante, excitée de tant de jeux, de la situation... Je l'entendis soupirer d'aise en se retrouvant la tête devant ma petite chatte, comme attendant ce moment dont il m'avait tant parlé. Ce cuni qu'il voulait m'offrir depuis si longtemps.
Mon dieu comme j'ai eu raison d'attendre, ça valait le coup. Incroyable !! Chaque coup de langue, chaque mordillement, chaque suçotement, chaque lèvre plaquée entre mon pubis et mes fesses était indécent de plaisir. Rien n'était oublié... mon clito gonflé... mes lèvres ouvertes... mes jambes douces sous ses mains... Des gestes précis, connaisseurs sur mon anatomie, comme s'il savait exactement comment j'aimais me caresser ou la moindre parcelle de peau me faisant vibrer. Des points de pression puis ses doigts en moi... Associés à sa langue, à sa bouche dévorante et si délicate... Mon sang bouillonnait ! J'alternais soupir et gémissement à ne plus m'arrêter.
"C'est bon maîtresse ?" Oh que oui, continue, je t'ordonne de ne rien arrêter, jamais. Encore, encore, encore... Huuuummm... me cambrer pour lui offrir mes fesses dans ses mains. Mon corps comme poussé vers sa bouche sans vouloir s'en détacher. Moi, la dominante, était entièrement en surchauffe, sans maîtrise dans ce délice. Puis trop de sensations, il faut que le corps exulte dans un orgasme, un long cri de jouissance en appuyant sa tête et sa langue contre mon clito. Me sentir extrêmement mouillée de plaisir et le voir fou de joie de ce résultat.
J'étais haletante, exténuée de cette violente explosion reçue pendant de très longues secondes... Jusqu'à ce moment, c'était le meilleur cuni qu'on m'avait jamais fait. Totalement fou à ressentir. Mon envie de le remercier et de partager une autre position avec lui, de le rendre encore plus fou, était maximale mais il a préféré déguster cette victoire et s'arrêter là. Nous nous sommes allongés l'un à côté de l'autre, les mots revenant à la normal, les caresses plus tendres, quelques rires et compliments échangés puis cette furieuse envie de profiter du petit déjeuner qu'il avait amené comme promis !
Cuni décoiffant, orgasme, fantasme, pouvoir et croissant... que vouloir de plus pour un début de matinée idéale ? ;-)