Doux, tendre, gentil, cet amant marié là recherche avant tout une complicité... un instant dans vos bras, contre votre peau. C'est la tête au creux de votre cou ou à la naissance de vos seins qu'il se sentira le mieux, contre ce corps chaud plein de passion... Presque aussi bon que la partie de jambes en l'air, c'est un moment précieux pour lui.
Il a peut-être abandonné cette douceur depuis longtemps dans le lit de Madame, et quel dommage car finalement il vous fera bien comprendre que ce moment est aussi intense et primordial pour lui que lorsque vous le chevaucherez sauvagement pleine d'entrain et de désir !
Le calineur d'avant : J. 40 ans est peut-être un homme de pouvoir dans la vie, avec de nombreuses responsabilités, une belle maison, d'excellents revenus, la femme et mère... mais sa confiance est un peu ébréchée dans l'intimité. Alors les calins sont un moyen de créer un vrai contact et une excitation grandissante sans avoir peur d'exploser trop vite sous peur de vous décevoir. Il recherche la sensualité de vos lèvres ou de vos cheveux pour amorcer l'excitation intense. Un plaisir subtile et simple que j'adore.
Le calineur d'après : B. 38 ans aime garder ce contact physique après le moment d'extase. Je pense qu'il est heureux en couple mais il recherche surtout la diversité, l'originalité, le plaisir occasionnel tout simplement pour sortir du quotidien. Il n'y a donc pas que le sexe pur, le culbutage qui compte. Il adore parler, échanger, se renseigner sur ses maîtresses. Je me souviens qu'il m'avait cherchée sur Google le coquin ! Et ces moments de câlinages après l'orgasme, l'effort et 2 bouteilles d'eau vidées (vive le sport en chambre...) sont propices à échanger, à garder le contact sous toutes ses formes, autant physique (effleurement, calins, corps contre corps, baisers...) qu'intellectuel.
Le calineur permanent (1) : M. 33 ans est très tendre, respectueux de sa maîtresse. C'est sa personnalité, un vrai gentil. La douceur est donc primordiale, il s'inquiète de mon bien être et veut que je me sente à l'aise, rassurée, en confiance, bien tout simplement. Avant pour me faire comprendre que ma sensualité l'excite tout autant que ce que je vais lui procurer... et après pour garder cette proximité, cette tendresse, ce lien doux et attentionné.
Le calineur permanent (2) : R. 32 ans câline, embrasse, rassure. Bien que marié pieds et poings liés, vous êtes sa compagne, sa petite-amie, bien plus que son amante ou sa maîtresse. Ce terme qu'il n'aime pas trop d'ailleurs. Et en tant que "couple", la tendresse extrême, les sentiments sont de mise, et donc les câlins permanents. Mains dans les cheveux à vous masser la tête, les baisers dans le cou, les petits frottements de nez, corps contre corps, impossible de vous échapper à l'autre bout du lit, il pensera qu'il y a quelque chose qui ne va pas.
Le calineur permanent (3) : F. 40 ans est transit d'amour pour chacune de ses maîtresse, juste avant, pendant et juste après qu'il leur fasse l'amour. Et à ce titre, il est le roi de l'effleurement, des mains qui glissent sur votre peau, à la recherche et la découverte du moindre centimètre carré de votre peau. Les câlins avant font partie des préliminaires de dégustation... et ceux d'après de l'appréciation de l'extase pour mieux recommencer ! Une sensation grisante et très porteuse !
Le câlineur peut avoir deux faces : l'avant ou l'après ! La pause câlins sera une amorce à de nombreuses caresses sensuelles, a déclencher l’érection, le plaisir, le pousser à prendre les rennes, le mettre en confiance pour tenter différentes approches... Attention, le câlineur n'est pas forcément timide ou "mou", mais un point est sûr : il vous respecte beaucoup car il a besoin de vous pour son plaisir.
La séance câlinage pourra aussi clore le moment de galipettes. Soupirant, transpirant, satisfait, il aura ce reflex de vous prendre dans ses bras, de vous entourer, de vous tirer vers lui... contre lui, pour ressentir que vous n'êtes pas la maîtresse d'un plan cul mais bien l'amante aimante à qui il a fait l'amour (et non baisé).
Alors laissez-le faire, profitez de ce respect fantastique qu'un homme, parfois de passage, peut vouloir vous donner... C'est un tel plaisir de ressentir ce besoin qu'un homme a de vous sentir contre lui qu'il serait dommage de s'en priver. Et personnellement, j'adhère totalement, surtout s'il a la peau douce et qu'il laisse ses mains glisser le long de mon dos ou de mes cheveux ;-)