En devenant la maîtresse d'hommes mariés, je savais que ma féminité et ma sensualité allaient en être décuplées ! Toujours soucieuse d'être parfaite, épilée pour chaque nuit avec mes anciens petits amis, cette envie de summum s'est désormais inscrite dans mon quotidien. Épuisant mais foncièrement bénéfique pour cultiver cette notion de l'imprévu et de l'occasion à ne pas manquer, voici quelques petites règles à appliquer lorsque l'on endosse le costume de maîtresse à fantasmes.
Toujours maquillée, toujours épilée, toujours crémée, toujours parfumée... Les sous-vêtements devront être raccords, aguicheurs mais pas vulgaires, un petit kit de correction et de déodorant/lingettes envahiront votre sac à main de façon très naturelle.
On ne vous demande pas de sortir de 3h de salle de bain à chaque minute de la journée, car un homme qui a profondément envie de vous baiser ou de vous faire l'amour (oui, la différence est importante) ne prêtera que peu d'attention aux détails aussi subtils. Mais tout cela est pour vous, pour gonfler votre égo d'être "parfaite" à chaque instant, comme une véritable princesse, geisha faite pour le plaisir et si différente de leur femme posant un masque hydratant vert sur leur visage et les révulsant à coups de bigoudis au coucher. Devenez le fantasme au-delà du fantasme.
Vous serez la subtilité d'une lingerie fine, la volupté d'un parfum envoûtant mais pas marquant, la douceur de mains hydratées et de lèvres douces, la féminité en talons sans pansements ni écorchure, l'audace des bas à la place des collants...
Bref, soyez la femme derrière la féminité, la sensualité maximale qui éveille les sens. Pas une pute de luxe, mais bien un modèle féminin d'extase au regard. La confiance n'en sera que plus grande et son envie de vous faire plaisir et de vous respecter (pendant quelques minutes, point de leurre) d'autant plus brûlante...