J'avoue, j'adore faire ça. Fellation, blowjob, pipe, gâterie, appelez ça comme vous voulez... Pour moi, ça reste un pouvoir extraordinaire d'offrir un plaisir unique à son partenaire et d'avoir le contrôle. Oui, beaucoup d'hommes sont tristes de voir que Madame ne souhaite plus la pratiquer une fois mariée ou bien installée avec eux sous prétexte d'une image dégradante ou que "ce n'est plus que du sexe entre eux". D'autres sont aussi échaudés par de mauvaises pratiques trop violentes, maladroites, trop de dents ou simplement une succession de va-et-viens sans âme réalisés par des femmes qui ont trop regardé de porno pour apprendre. Quel tristesse...
Je n'ai bien évidemment jamais suivi de cours de fellation, mais aux dires de mes amants, je suis très douée. Je pense que c'est surtout en étant totalement observatrice de leurs réactions et de leurs plaisirs que j'ai pu "apprendre" à leur faire du bien à ce point. La sensibilité, la créativité et la connaissance du sexe masculin sont primordiales pour offrir une expérience intense à son partenaire... L'entendre soupirer, gémir, devenir fou, supplier, sa respiration s'accélérer, le sentir se contracter, se retenir, puis jouir dans un râle excessif... Quel délice !
Partage de mes meilleurs souvenirs :
1- Au bord des lèvres...
Il adorait me regarder faire, ce rare moment où j'avais réellement le contrôle sur lui et où il s'autorisait à le perdre un peu, à soupirer, à se laisser aller. Sa respiration devenait plus intense, ma langue ne le lâchait plus. De haut en bas, par petits coups, puis le prendre entièrement dans ma bouche, lui masser ce gland si gonflé, si rouge d'envie, le sentir durcir encore comme si c'était possible. Et ses jambes se crisper. Il allait jouir et je n'en pouvais plus d'excitation. Je le voulais, complètement, mais je lui avais fait comprendre que là, l'orgasme ne serait que pour lui malgré mon plaisir intense de le ravir à ce point. Il releva sa tête de l'oreiller, sa main dans mes cheveux pour mieux me voir le posséder de cette façon, eu un soupir plus fort et lâcha un "je vais jouir... hummm.. attention je vais jouir...", je tentais une gorge profonde pour l'achever et lui faire comprendre que je n'avais pas peur puis me retira en quelques secondes juste au moment où il explosa ! Le recueillir au bord de mes lèvres, moi qui n'avale pas, c'est le plus beau cadeau que je pouvais lui faire. Continuant à le caresser, à le masser en va et vient, doucement, donnant de derniers petits coups de langue sur son gland, je voyais R. 32 ans satisfait, ravi, impuissant face à mon envie de l'assouvir. Admiratif de ma dévotion. Et il me respectait pour ça.
2 - TTBM : Très bien membrés
"Ce n'est pas la taille qui compte, c'est la façon de s'en servir". Mais quand on aime sucer ces messieurs, je peux vous garantir que la taille compte s'ils sont TRES gâtés par la nature. Une légère peur s'installe de se faire décrocher la mâchoire en ne se prenant pas pour une star du porno. Si l'assurance masculine se mesure à la taille du sexe, R. 28 ans et M. 33 ans n'ont aucun souci à se faire (bien que mes autres amants "réguliers" aient toujours été très bien de ce côté là, je n'ai jamais eu à me plaindre) bien que ça ne soit pas du tout leur genre de s'en vanter ni de l'arborer. Je me souviens de cette première fellation avec eux... R. 28 ans, très large, est très cru et je l'entend encore me demander de le sucer jusqu'au fond et aussi de me "guider" dans ce qu'il aimait le plus, son attitude m'a beaucoup aidé à "perfectionner" ce que je savais déjà si bien faire selon lui. "Regarde ton partenaire dans les yeux quand tu le suces, c'est très érotique" ou "passe la paume de ta main sur le gland pour le masser, ça nous rend fou". Un véritable partage et échange en le sentant durcir dans ma bouche... Hum... délicieux ! Pour M. 33 ans, ses 22 cm m'ont aussi inquiétée mais un régal de l'entendre gémir sous chaque coup de langue. Il se laisse faire et n'attend qu'une chose, ne plus pouvoir se retenir de me prendre avant de jouir pour me faire gémir à mon tour en m'enfilant fièrement jusqu'au bout pour me remercier de l'avoir autant fait "grandi". Une complicité agréable, sensuelle, érotique, sexuelle, vicieuse, sauvage et brûlante.
3 - Deepthroat allongée sur le dos
Allongée sur le dos, la tête posée au bord du lit, je lui offrais une vue imprenable sur mes seins, mon ventre, mon sexe, mes cuisses, mes jambes... G. 36 ans était debout, face à moi, bandant comme jamais. J'empoignais son sexe pour l'amener au bord de mes lèvres, gourmande et impatiente. L'idée d'essayer de cette façon, à l'envers, et d'être totalement exposée à son regard, était terriblement excitante. Je sortis ma langue, entre-ouvrit mes lèvres pour l'avaler complètement. Le glissant dans ma gorge déployée, encore vierge de ce fantasme. Il ressentait mon plaisir et ça le rendait fou ! Je l'entendais gémir, me dire qu'il était déjà trop excité de me voir comme ça, soumise et si belle, une main sur sa queue si dure et une autre sur ma poitrine... mes courbes... un doigt glisser entre mes jambes. Il n'en pouvait plus, faisant des mouvements de bassin et de fesses pour s'introduire encore plus fort et plus loin dans ma bouche, il se retira d'un coup tellement c'était intense. J'ai adoré ce moment, ce pouvoir !
4 - Entre les seins...
On le sait tous, la fellation peut parfaitement s'accorder avec une petite branlette espagnole... Pardon, une cravate de notaire si vous préférez. A condition d'avoir la poitrine pour, bien évidemment (#team95D). Je ne le fais pas souvent mais parfois l'envie monte... Celle de m'enduire les seins d'huile de massage érotique, de faire de même sur son sexe déjà droit et fier et de le glisser dans ce lieu coquin. A coup de sensualité, de regards perçants, de petits soupirs, de bruits subtiles de frottement, de mains resserrant les seins autour de sa queue, d'un bout de gland qui apparaît et disparaît sous le rythme que j'impose... Parfois je l'oblige à tout faire, à utiliser ses mains, offrant déjà mon corps et ma langue titillant ce qui dépasse et me mordant la lèvre de désir pour me retenir de le sucer encore et encore "normalement". Je me souviens du regard de G. 36 ans, assassin et si intense qu'il se serait enflammé sur place. Et je me souviens aussi de la jouissance de R. 32 ans, se crispant, me serrant encore plus fort dans une contraction ultime. Cet orgasme à mon sacrifice plantureux.
5 - Pétillante s'il vous plait !
Champagne, coca, redbull, cidre... Les boissons fraîches pétillantes sont une très belles surprises pour la bite de ces messieurs. Cocktail de sensations, les bulles et le glaçant du breuvage tranchent avec la douceur de ma langue et la chaleur de ma bouche. Effet d'extase garanti pour le début d'une gâterie créative. La gourmandise est peut-être un vilain défaut mais quel délice de me régaler de leur corps, de leur goût mélangé avec un tel apéritif. Prendre une belle gorgée, qu'il soit les yeux bandés ou non, et y glisser son gland brûlant et gonflé entre mes lèvres. Lentement. Doucement. Sensuellement. Lâchant quelques gouttes sur son pubis au passage. Leur réaction est souvent la même "whaou !! Extraordinnaire... continue !!". Une gorgée, puis deux, puis trois, pour finir avec ma bouche ardente. Il faut que ce moment ne reste que l'amorce, la surprise, sinon ça perd tout son charme. Juste une nouvelle façon de les entendre me supplier de continuer. Et parfois je peux être très obéissante ;-)
6 - Si expressif, si bon
J. 40 ans est un amant extraordinaire aussi pour ça : il s'exprime beaucoup et bien. Il commente un peu mais d'une façon purement excitante. Ses mots sont une dévotion à mon corps et une récompense à chaque geste ou caresse que je lui procure. A l'opposé des TTBM, il en reste totalement délicieux et ultra doué, à ce titre il m'est impossible de me priver de sa "friandise". Et pendant ce moment là, je l'entends gémir, soupirer, crier, et me dire "tu es extraordinaire", "c'est incroyablement bon", "oh oui continue", "c'est pas possible d'être aussi douée", "tu es la meilleure", "hummmm oui... encore... je te veux, je vais tout te faire" et autres phrases purement bandantes. Un plaisir de lui faire plaisir à ce point, c'est indécent !
7 - Le dessert en chantilly
Certains n'aiment pas jouer avec la nourriture. Mais moi j'ai toujours fantasmé sur cette scène du frigo dans 9 semaines 1/2 (même si avec le recul aujourd'hui elle parait complètement décalée). J'ai donc adapté à mes envies et la chantilly m'est apparue classique mais sûre :) La première fois c'était avec B. 38 ans, envie de tenter, d'être la cerise sur le dessert de 3 heures intenses en plein samedi après-midi. Je me rappelle très bien de son rire en me voyant avec la chantilly à la main et de son sourire à peine dissimulé qui criait "ah oui ? ok, vas y ma belle, je t'attends !". Les yeux plein d'audace, j'avoue avoir été assez maladroite et ai très vite abandonné la crème... mais je me suis largement perfectionnée pour les suivants. Bien que je puisse renouveler une pratique, un fantasme, une envie avec plusieurs amants, chaque moment est différent. G 36 ans a peu de barrières, et le jeu avec la nourriture est une invitation à la débauche la plus perverse. J'adore sa liberté que j'envie énormément... Pour E. 38 ans, c'était une première, l'envie de le dévorer tellement mon désir pour lui était grand, j'avais envie de tout, ses mots et sa voix me rendaient folle, et j'avais une terrible envie de l'étonner. Yeux bandés, je disposais une petite ligne de chantilly sur son ventre pour qu'il devine ce nouveau jeu. Sa surprise ne se fut pas sentir, son corps se contracta puis s'apaisa sous mes coups de langues très très très lents sous son nombril... Une pointe de crème sur la pointe de son sexe et il se laissa faire sous quelques gémissements trahissant son plaisir et son excitation. Pendant de longues minutes, ma gourmandise se délecta de sa queue et de son laissé-allé. Un régal.
8 - Travail d'équipe sur seins
Une fellation c'est bien, accompagnée d'une cravate espagnole c'est mieux, mais lorsque l'on propose à monsieur son amant de se masturber sur nos seins, quelques secondes avant de jouir, leurs yeux s'illuminent ! Le fantasme de se caresser devant l'autre, de nous voir offerte à l'explosion, la vision de nos seins... E. 38 ans ne s'est pas fait prier longtemps. J'ai adoré son regard conquérant, aphrodisiaque à souhait. Il était là, à quelques centimètres de ma bouche qui venait de lui procurer tant de délices, sa main allait et venait sur tout le long de son engin, massant son gland, me fixant dans les yeux, poitrine offerte, tremblant déjà d'avance, puis se lâcha dans un râle salvateur. Cette victoire de le voir satisfait, frêle d'extase, l'obligeant à s'allonger pour récupérer de cette volupté suprême, résultant d'un vrai travail d'équipe !
Certaines Madames n'aiment pas ça, ne l'ont jamais aimé même avant d'être en couple de longues années avec mes amants, et je peux comprendre que l'idée rebute. Pourtant quel pouvoir mesdames, quel pouvoir vous manquez...