Ce soir là, j'avais seulement prévu de passer quelques instants à l'apéro libertin. Sans grande ambition ni attente. La journée avait été longue. Mais si le destin nous joue parfois des tours, il m'a récompensé de mon effort par de multiples orgasmes lors de cette nuit...
Quand je suis arrivée, j'ai immédiatement reconnu le petit groupe que je fréquente habituellement. Des couples, des libertins, des poly-amoureux. Et avec eux, je l'ai reconnu. Ses yeux. Son sourire. Son tatouage. B. 34 ans. Cet infidèle avec qui j'avais déjà discuté à distance. Qui m'avait un peu raconté son histoire mais sans plus. Qui avait essayé d'attirer mon attention. Qui était curieux de qui était l'amante des hommes en couple. Qui était curieux de savoir qui j'étais vraiment.
Une bise à tout le monde, un grand sourire, une blague ou deux et je me suis naturellement collée à lui. J'avoue l'avoir monopolisé. Sa chemise bleue, ses manches retroussées et mon envie fulgurante de l'embrasser. Je ne me suis pas privée. Un regard échangé, un grand sourire et il a compris. Il l'a voulu aussi. Ce baiser... Un délice !
Mais que vaut une petite mise en bouche si on ne peut pas continuer ? ;-) Ma nature impatience s'est vue satisfaite aux mots "on fait l'after au sauna libertin ?". Oh oui... Déshabillez ces corps pour mon regard, laissez couler l'humidité sur les peaux et les sexes mouillés ou tendus, embrumez mes oreilles de gémissements dans tous les coins...
Une fois dans le jacuzzi, les mains commencèrent à se balader. Je découvrais alors sa peau imberbe et douce. Il découvrait mes envies et mon excitation naissante. Entre deux bulles, je glissais mes fesses contre son sexe durcissant tandis qu'il laissait ses lèvres vagabonder dans mon cou. Centimètre par centimètre, je sentais sa chaleur et se coller à moi, augmenter mon impatience et je prenais un malin plaisir à continuer de me frotter à une queue qui allait me posséder. Puis sa main vint se placer sur mes jambes, sous l'eau transparente. Tous ces corps autour de nous, qui commençaient à se toucher, les rires s'effaçaient gentillement pour laisser place aux premiers soupirs des étreintes et des caresses. Continuant son chemin, ses doigts glissèrent entre mes cuisses que j'ouvrais avec plaisir en me cambrant contre lui. Dos à sexe. Assise entre ses jambes, il possédait déjà les miennes et l'humidité grandissante de mon intimité. Mon sang ne fit qu'un tour : "ça suffit, je n'en peux plus... je te veux !". Il eu un grand sourire, sûrement ravi de voir mon enthousiasme impatient. Le bougre !
En quittant le jacuzzi, nous avions provoqué un petit effet de masse avec d'autres suiveurs, ravis de nous voir nous embrasser langoureusement sous la douche. L'eau ruisselait sur nous... brûlante... Ma main descendit vers cette queue raide et déjà prête. Je continuais de le caresser tout en lui mordant la lèvre inférieure. Il ne cessait de laisser courir ses mains sur moi et ses doigts en moi, l'emprisonnant entre mes cuisses debout.
Le prenant par la main, nous cherchions une petite salle tranquille pour ce qui allait être, sans que je m'en doute, un supplice de plaisirs à venir. Bien qu'encore ruisselante, B. 34 ans m'allongea sur le matelas et commença son oeuvre. Nos langues se mêlèrent, avides de dévorer l'autre de ses envies... il plaça ses mains sur mon cou puis commença à descendre... entre mes seins... sur mon ventre... longeant la courbure de mes hanches... de mes fesses... se baissa pour profiter de chaque parcelle de mes jambes... les embrassant... pour m'écarter doucement les cuisses et venir se placer devant ma petite chatte ardente...
Au bout de quelques minutes, je n'en pouvais plus... "Oh mon dieu !!".. qu'est ce qu'il était doué pour ça. Cette cruelle envie de me faire plaisir se ressentait énormément. Titillant mon clito déjà gonflé, il y associait ses doigts pour m'effleurer. Sa langue me faisait cambrer instinctivement. "Tu es toute mouillée... et ce n'est pas le jacuzzi". Oups ;-) Je n'ai pas résisté longtemps la première fois. "Encore... hum... oui là... oh oui... juste là ! Oh mon dieu que c'est bon...". Je gémissais sans contrôle. Sa langue était infatigable, suçottant mon petit bouton. Ses doigts s'enfonçaient profondément en moi en même temps, ne me laissant aucun répit. Agissant comme un vibro. "Oui... Oui... olalala... Ne t'arrêtes pas... je vais... humm.... Ouiiii !!!". Ce premier orgasme fut puissant, intense, frissonnant !
Je le voyais sourire. De fierté ou de suprêmatie, peu importe, je venais de décoller littéralement. Puis une tête ou deux passèrent par la petite fenêtre ouverte. Notre groupe venait me dire qu'ils m'avaient largement entendue crier et jouir. "C'est de sa faute !". Mais j'étais décidée à me venger d'un tel plaisir. Moi qui avait tant envie de m'occuper de ce sexe bandant, je n'allais pas passer mon tour. Je l'allongeais à mon tour pour poser mes lèvres sur sa bouche... son torse... descendant touuuut le long de son ventre... mes ongles sur ses cuisses... avec l'énorme regret de ne pas pouvoir y laisser de traces (infidèle oblige)... en arrivant au trésor dressé. De ma langue je titillais le grand perlé et le frein excité pour commencer à l'entendre gémir. Caressant ses boules pendant que je commençais à peine, je le senti chatouilleux. Mes mains s'occupèrent donc d'entourer cette tige rigide et fière. Le voyant se redresser pour me regarder, je le fixais intensément pendant que ma langue s'occupait de son gland. Encore et encore... pendant de longues minutes je l'ai entendu geindre de mes mouvements. Relevant mon cul pour lui offrir une vue de perspective, j'ondulais mes hanches et gémissais également du contrôle que j'avais sur lui à ce moment là.
"Oh oui... c'est bon ça.. oh oui très bon...". Ma bouche allait et venait sur sa queue, l'avalant toute entière pour remonter exciter ce gland rose et jouer avec le frein. Aspirant doucement... puis fort... je le voyais bientôt céder. "Doucement... Je veux te prendre".
C'est à partir de là que mon supplice à vraiment commencer. Il me tortura pendant de TRES longues minutes... Je ne sais pas si cela a duré une demie heure ou plus mais une fois son sexe en moi, je n'eu qu'une envie : qu'il me baise. Fort. Puissant.
Il commença doucement... très doucement... mes jambes enroulées autour de sa taille, il était au dessus de moi. Yeux dans les yeux. La pénombre du club ne nous gênait pas. Je voyais son regard briller d'excitation. Et il sentait mes seins se dresser sous son torse, peau à peau, mon minou luisant d'excitation et brûlant de désir. Puis il accéléra... Plus vite... Plus vite... je me sentais monter... Il m'exaltait et je gémissais de plus en plus fort. Je sentais mon ventre se contracter quand tout à coup... il ralenti ! "Oh non !! Pitié continue..." Je le suppliais de ma voix haletante... Je remarquais son sourire. L'enfoiré allait torturer l'impatiente capricieuse que je suis quand j'ai envie d'un amant. Gagné ! Il continua plusieurs fois à ce rythme. Accélérant... puis ralentissant au moment où j'allais jouir. Malgré mes suppliques.
Une nouvelle séance de va et vient me rendit folle, mon corps était a son maximum et mon cerveau bouillonnait de volupté. Je le voulais. Je voulais l'entendre jouir. Le sentir exploser. Connaître son corps sous mon effet. Sentir ses fesses sous mes talons, resserrant mes cuisses autour de ses hanches, j'emprisonnais sa bite hardie au plus profond de moi. "Baise moi !". "Laisse toi aller avec moi... Jouis avec moi..." dans un dernier mouvement de va et vient, je lâchais prise et cria mon plaisir en me cambrant contre lui. Son râle explosif raisonna dans mes oreilles. "Ahhh... Ouiii..... !!!!" nous nous écroulions tous les deux. Son corps toujours sur le mien. Un orgasme bruyant et si intense... Il frissonnait tout contre moi, ne lâchant pas ma peau, se lovant contre ma poitrine, sa tête dans mon cou.
Je relâchais mes jambes autour de lui, épuisées. Allongés l'un contre l'autre, ma tête sur son torse, nous commencions à rire de cette extase inattendue. Nos corps semblaient très bien s'entendre, nos envies, nos orgasmes aussi et notre tendresse. Cela annonçait du bon pour une prochaine fois.
Après avoir repris nos esprits et vu l'heure, c'est debout, en quittant cette petite pièce du club, qu'il m'embrassa fougueusement, sa main collée sur mes reins encore nus, et que j'eu immédiatement envie de recommencer dans cette ambiance humide et chaude. Oups ;-)