Bénissez-moi mon Père parce que j'ai pêché. J'ai parfois été une vraie petite salope, accablant les sextos, les chuchotements, les confessions de mots crus à mes amants si impuissants devant mon envie intense. Les poussant au pire des crimes, l'obligation de me satisfaire, de me faire jouir, moi offerte au plus simple orgasme et cri d'intense explosion.
Bénissez-moi mon Père parce que j'aime le sexe... J'aime que l'on me touche et que l'on me caresse au plus profond de mon intimité, que l'on me pénètre au plus profond de mon corps et de mon cul. J'aime les sentir offerts, grossir sous mes lèvres joueuses.
Bénissez-moi mon Père parce que je dois être punie. Oh oui punie de toute cette envie d'être parfois soumise à leurs envies les plus diaboliques, les plus scandaleuses. Mais aussi punie d'aimer dominer et de jouer les maîtresses organisatrice de pouvoirs et de fantasmes.
Bénissez-moi mon Père parce que rien n'est meilleur pour moi que de frémir sous leurs mains curieuses, leurs langues agiles, leur sexe explorateur, leur baisers experts, leurs souffles brûlants et leurs regards perçants de désir.
Bénissez-moi mon Père parce que j'aime les pousser plus loin que leurs habitudes, les dévoiler, les découvrir, être celle qui leur permet l'extase incomprise, l'orgasme interdit, la position voluptueuse, le plaisir caché, le fantasme accompli.
Oh... bénissez-moi mon Père d'être cette petite salope au grand coeur qui offre son cul comme elle offre ses mots, son temps et son attention. Que parfois les câlins et les rires se mêlent dans ce lit de débauche après des soupirs d'extase, redevenant juste moi et plus la maîtresse d'un moment.
Bénissez-moi mon Père parce qu'un jour je me suis attachée plus que de raison et que je n'ai aucun regret de me souvenir de certains. Qu'ils me donnent autant que j'aime leur donner. Et que LUI ou LUI sont si différents et comptent encore plus que d'autres pour me mettre à nu.
Ma chère enfant, je vous bénis et vous pardonne. Vous réciterez 5 sextos et crierez 8 fois le nom de Dieu lors de vos prochains ébats.