Il était de passage a Paris pendant une nuit pour affaires... Ses mots et son sourire craquants étaient trop sexy pour ne pas saisir l'occasion. Je serais crevée le lendemain au bureau mais tant pis... L'idée d'une nuit intense dans un hôtel de luxe avec un inconnu avec qui j'avais échangé fantasmes, désirs et photos par message interposés était intense !
"Envie de te voir débarquer dans ma chambre, en jupe, pour glisser mes mains dessous et te faire frémir d'envie"... D. 32 ans voulait une nuit coquine, un moment de surprise, un fantasme brûlant et moi aussi.
Je me souviens de sa silhouette a travers la fenêtre en arrivant a l'hôtel, en chemise, a contre jour, prêt, a m'attendre... J'avais joué le jeu jusqu'au bout : robe courte, décolleté, talons, bas noirs, guêpière... Je le voulais intense, je le voulais fou de désir, haletant sous mes caresses, suppliant sous ma bouche, sauvage sous mes mouvements de bassins ! Quelques minutes a peine suffire a me déshabiller après un baiser fougueux accompagné de son sourire charmeur a tuer... Hummm ce sourire... Et ces mains... Douces, parfaites pour se balader sur mes seins, mes courbes, glisser entre mes jambes... Ce moment n'a duré que 2h, en pleine nuit, je repris un taxi après une petite glace au bar nocturne de l'hôtel, pour rentrer me glisser dans mon lit, satisfaite.
J. 40 ans avait une convention dans Paris ce jour la et ne rejoignait pas la maison familiale pour dormir a l'hôtel le soir... Après des jours de messages enflammés de sa part, je n'en pouvais plus et j'étais bien décidé a lui faire payer son silence radio de la veille... Armé d'une petite jupe, de bas, de bottes a talon, d'une petite veste, d'un décolleté et de mon sourire le plus sournois, je lui fis la surprise de le retrouver entre deux réunions. Je me souviens très bien de ces yeux plein d'envies et son regard gourmand en me voyant débarquer, le sourire jusqu'au oreilles, me glissant sa clé de chambre sur la table du bar en me suppliant de le rejoindre le soir pour la nuit... "On verra, tu ne le mérite pas !"... Ses suppliques étaient un régal... Le chantage sexuel marche toujours ;-)
Après plusieurs refus de ma part et ses réponses plein de déception le soir venu, je débarquais dans la même tenue dans sa chambre dès 23h... Il était debout devant la fenêtre, encore en costume, quand j'ai ouvert la porte avec la clé. Une vague de chaleur a littéralement envahit nos corps quand nos regards se sont croisés, cet homme a un pouvoir incroyable sur moi... Son physique ne compte pas, mais son charisme me marque. L'envie qu'il vous plaque contre la vitre pour vous caresser a vous faire trembler les jambes est intense !
Baisers fougueux, jeux de regards, provocation des mots, déshabillage du regard... Je le poussais sur le lit immense et me glissait sur lui, le chevauchant, relevant ma jupe pour qu'il aperçoive cette petite culotte rouge brûlante qui fit son effet... Le caressant, m'offrant a ses mains... a ses baisers... Le dévorant dans le cou, déboutonnant sa chemise, posant mes mains sur son torse, laissant courir mes lèvres... Puis dégrafant son pantalon pour y glisser mes doigts... Le sentant haletant, il me poussa pour me bloquer sous lui et me rendre mes caresses... Embrassant ma poitrine généreuse, ce décolleté offert qu'il désirait depuis des jours, des semaines... Sentant mon intimité brûlante et humide... C'était délicieux de jouer comme ça...
Ce soir la nous n'avons pas fait l'amour, je voulais l'exciter pour le punir et partir. Le sacrifice fut double, car mon envie de lui faire plaisir, d'enchaîner des heures de plaisir, de câlins, de caresses, de baisers, de positions... était puissante. Mais parfois l'attente se pousse au paroxysme pour être encore plus explosive !
Ce moment tactile fut délicieux... Piquant... Chaud... Et cette chambre d'hôtel offrait un écrin a notre envie et notre plaisir d'échanger caresses et frissons en attendant plus. Développant ce fantasme de le faire partout : sur le lit géant, par terre sur la moquette, contre la vitre, sur le bureau, dans la salle de bain, sous la douche italienne, dans la baignoire, sur le lavabo... Et pourquoi pas quelques mains égarées dès l'ascenseur ;-)