Fantasme : douce sodomie

L'excitation était déjà très intense, ses doigts me rendaient folle entre mes cuisses et je le suppliais presque de me posséder entièrement... il s'est glissé derrière moi, se collant contre mes fesses, main plaquée sur ma gorge pour me faire cambrer et m'a chuchoté "fais moi confiance".

L. 36 ans est un de mes premiers amants infidèles, un très bel homme plein d'assurance ; ses messages m'ont plus tout de suite car il savait ce qu'il voulait. Sur le moment, je ne me suis doutée de rien, je me suis laissée faire. Probablement le premier aussi à qui j'ai laissé les rennes un instant, souhaitant m'abandonner pour la première fois. Je ne m'y attendais pas... le sentir bandant comme un fou entre mes fesses. Refus ! Panique de ma part ! C'était la première fois qu'on allait vraiment me prendre comme ça... Une mauvaise expérience des années plus tôt avec un ex (trop) bien membré m'avait rapidement calmée, puis les questions régulières sur l'hygiène, les traces, la douleur, les sensations, le doute de prendre du plaisir comme ça...

Mon amant a su me rassurer en y allant très doucement, me bloquant complètement contre lui en m'enlaçant de ses bras très puissants. Je me souviens encore de la chaleur.. celle de son souffle, celle de son sexe, celle de son corps... Impossible de lui résister, j'y étais et j'ai déconnecté, j'ai laissé faire, totalement excitée et prête. Par fantasme, envie, désir... mon corps me réclamait de savoir.

Sensation exquise et incontrôlée de le sentir gagner du terrain à chaque minute mais y aller en douceur... Je sentais son bassin bouger doucement, ses coups d'accélération, une main sur ma hanche, l'autre me caressant au creux de mon intimité, puis nos gémissements, nos soupirs et notre plaisir, à tous les deux : ça y est, j'avais sauté le pas !

Comme pour nombreux de mes amants, ces maris infidèles, la sodomie est LE fantasme, une envie puissante, un brûlant désir totalement inassouvi par le refus de Madame. Des années de couple ont alterré l'originalité et les nouvelles expériences au lit. Je me souviens d'une réponse de Madame, rapportée par son mari : "En gros, la sodomie si tu ne l'as pratique pas dès le début avec ton mec, c'est mort. Car ce n'est pas après des années de mariage, un gamin et une vie de famille que tu veux que ton mari te voit comme une chienne qui offre son cul".

Cette phrase m'avait fait sourire et rendue triste dans un sens. Quel dommage, quel gâchis d'avoir plus peur de perdre l'image que son conjoint a depuis des années de vous, que d'exploiter cette confiance et complicité justement installée... Cela en fait des maris infidèles à regrets, qui viennent assouvir cette curiosité devenue trop forte par la frustration, ce fantasme du cul féminin, ce pouvoir avec d'autres telles que moi.

Si me voir le cul offert, haletante d'envies, est devenue la position préférée de G. 36 ans et R. 28 ans quand on passe un moment ensemble, ils ne s'en cachent pas. Pourtant amants que la nature a largement gâtée, et très passionnés pendant l'acte, j'avoue avoir craint ce moment avec eux. Mais l'avantage certain des hommes qui aiment vraiment cette pratique est qu'ils développent souvent tout le savoir pour vous "préparer" et vous mettre à l'aise... Caresses, coups de langue, doigts baladeurs, excitation maximale... Même en me possédant très sauvagement, ça reste incroyablement bon et sans douleur. Au pire, un bon lubrifiant est toujours utile ;)

Pour R. 32 ans, c'est autre chose... il ne l'avait jamais fait. En couple depuis plus d'une dizaine d'années avec sa première copine, le refus était catégorique de la part de Madame. Ce fantasme n'était pas forcément une demande insistante lorsqu'on a commencé à se fréquenter, mais cette osmose au lit, une complicité et une évidence hors du commun avec cet homme, mon envie de le satisfaire, de lui faire ce "cadeau", de le sentir me posséder de toutes les façons possibles était trop exaltante pour ne pas la saisir !

Je me souviens encore du premier orgasme anal qu'il m'a offert, la sensation était si forte, l'abandon tellement intense après une soirée douce et fusionnelle que nous flottions littéralement au moment de jouir tous les deux. Je n'aurais jamais pensé obtenir mon plaisir de cette façon, bien qu'aimant beaucoup à chaque fois, la sodomie seule n'était pas suffisante pour me faire atteindre le 7e ciel. Mais l'idée d'être sa première, de n'avoir aucune limite pour cet amant si désireux de me faire plaisir, a décuplé les sensations. Et l'abandon a été une belle réussite !

F. 40 ans aime mon cul, de toutes les façons possibles : sodomie, levrette, caresses, bisous... La vue de fesses en offrande rend fou de désir cet amant frustré par une relation de couple qui a perdu toute intimité depuis des années. Sa personnalité dévorante et son âme d'artiste fait que vous êtes clairement la 8e merveille du monde lorsqu'il vous fait l'amour... Baisers, soupirs, caresses, son intensité est envahissante, contagieuse, et malgré le fait qu'il ne soit pas membré comme Rocco, le sexe n'en n'est parfois que meilleur car vous ressentez tout. Je me souviens de ses mains me tenant les hanches... lui transpirant d'excitation pendant presque une heure... alternant les rythmes à posséder mon cul pleinement, jusqu'à la garde et sans peur d'avoir mal. Une impression grisante où l'on s'abandonne également...

S'offrir de cette façon à un amant frustré, curieux et connaisseur, plein d'envies de vous satisfaire, n'est en rien dégradant, bien en contraire. L'impression de lui faire un "cadeau" est largement récompensée par sa maîtrise de votre charmant joli petit cul ;-)

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